Cette création lève le voile sur un effroyable tabou : les conséquences des essais nucléaires français sur les populations nomades du Sahara algérien. Grégory Dargent (oudiste déjà repéré auprès de Babx, Houria Haïchi ou au sein de l’Hijâz’Car) en dépeint la catastrophe et la désolation à travers un drame musical et photographique aride et violent, qu’il interprète avec Anil Eraslan (violoncelle) et Wassim Halal (percussions).